Marcos Martin.
Ces deux planches de Spider-Man montrent un effet cher à Marcos Martin :
un décor représenté de manière fixe, répétée, dans sa verticalité,
à l'intérieur duquel le personnage se déplace.
L'action y est déployée de façon très fluide, la lecture s'opère naturellement
en suivant le mouvement du protagoniste.
un décor représenté de manière fixe, répétée, dans sa verticalité,
à l'intérieur duquel le personnage se déplace.
L'action y est déployée de façon très fluide, la lecture s'opère naturellement
en suivant le mouvement du protagoniste.
une succession de petites vignettes suivie d'un plan large,
plusieurs petits symboles et l'image du héros.
Là encore, une série de cases fragmentaires précéde une image classique.
du fameux "sens radar" de Matt Murdock/Daredevil,
qui résonne sur les objets et personnes qui l'entourent)
développée dans un cadre sophistiqué (un seul plan, large,
avec un effet de perspective très soigné).
Comme tous les très bons graphistes, Martin sait produire
des planches éloquentes même quand elles ne sont pas encore lettrées :
des planches éloquentes même quand elles ne sont pas encore lettrées :
les super-sens de Murdock, comme son ouïe, sont traduits par
des onomatopées exagérées et une gestuelle appuyée.
des onomatopées exagérées et une gestuelle appuyée.
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